Entendons-nous : le français « parlé » dans l’Hexagone, même émaillé de mots anglais, demeure de haute qualité. D’où cette impression d’impunité si répandue là-bas. Et on a beau jeu, je sais, au Québec, de dénoncer les dérives du parler parisien quand le nôtre bafouille tant sur nos rives…